Immagini di un convento è un film erotico del 1979 diretto da Joe D'Amato.
Trama : La contessa Isabella (Paola Senatore) viene forzata a prendere i voti dietro reclusione in un isolato ordine monastico retto dalla Superiora Angela (Aïché Nana) e dalla fidata suor Marta (Marina Hedman), quest'ultima coinvolta in passioni violente e omoerotiche con suor Virginia (Sylviane Anne Marie Plard). Ferito in una colluttazione con alcuni delinquenti, sul posto giunge Guido, giovane di bella presenza, prontamente soccorso dalle suore e immediatamente causa di turbolenti passioni, vanamente represse dalle sorelle. La Madre Superiora pensa che il luogo sia infestato da una presenza diabolica e invia suor Marta in città, per chiedere soccorso all'esorcista Padre Arnaldo (Donald O'Brien). (Source
FilmTV.it)
Lingua originale : italiano - Paese di produzione : Italia - Anno : 1979 - Durata : 82min. - Genere : erotico - Regia : Joe D'Amato - Soggetto : Tom Salima - Sceneggiatura : Tom Salima - Produttore : Oscar Santaniello - Casa di produzione : Kristal Film - Fotografia : Aristide Massaccesi - Montaggio : Vincenzo Vanni - Musiche : Nico Fidenco - Costumi : Adriana Bellone...
Interpreti : Paola Senatore, Marina Hedman, Paola Maiolini, Marina Ambrosini, Angelo Arquilla, Aïché Nana, Maria Rosaria Riuzzi, Giovanna Mainardi, Ferruccio Fregonese, Sylviane Anne Marie Plard, Pietro Zardini, Brunello Chiodetti, Donald O'Brien...
Ils en parlent:
« L’ensemble, réalisé semble-t-il avec soin, est difficilement jugeable en raison des nombreuses coupes effectuées sans raison apparente par le distributeur, et qui laissent quelques intrigues irrésolues (…) Joe D’amato n’est ni Ken Russell ni William Friedkin mais il démontre un certain goût pour le fantastique. Reste un film égaré, peut-être héritier de la célèbre Isabella, duchesse du diable, si chère aux bédéphiles italiens. » (La revue du cinéma H.S, saison 1981 - P.Mt.)
« Le Diable est au couvent, mais on est loin du temps des Décaméron. Et hélas les quelques prétentions érotico-esthétisantes de d’Amato sont mutilées par les coupes pratiquées à l’aveuglette dans une intrigue déjà fort nébuleuse, et condensée en 1h15. (…) D’Amato, le père d’Emmanuelle-bis, bien que secondé par une canibalisation des « Tubular Bells » et quelques scènes professionnellement exécutées a quelques exorcismes de retard. On pourra se consoler avec l’admirable plastique de Paola Senatore et se rappeler avec nostalgie ses débuts dans les mélos d’Andrée Marchand. » (La revue du cinéma, avril 1981 - Pascal Martinet)