Le notti peccaminose di Pietro l'Aretino est un film de 1972 réalisé par Manlio Scarpelli.
Synopsis: Une fort belle maman emmène sa non belle et très jeune fille à Rome où elle doit la présenter à l’Évêque qui, s’il a pu vérifier sa virginité par lui-même, lui offrira une honorable situation dans un bordel coté. Chemin faisant, la maman prodigue des conseils à la pucelle en lui contant de bien cruelles histoires dont elle tire la morale à sa manière. Las, elle apprend bientôt que sa fille n’est plus vierge. Un stratagème permet d’abuser l’Évêque et d’éviter le déshonneur. Le drap (taché de sang de coq) est exposé à la fenêtre et prouve ainsi aux citadins qu’une nouvelle putain est arrivée dans leurs murs… Cependant que le prédicateur qui avait poursuivi les deux femmes de ses imprécations, est conduit directement au bûcher: la Morale est sauve, c’était un hérétique. (La revue du cinéma n.299, octobre 1975)
Titre original: Le notti peccaminose di Pietro l'Aretino - Pays d'origine: Italie - Année: 1972 - Durée: 98 min. - Genee: Comédie érotique - Réalisateur: Manlio Scarpelli - Histoire: Manlio Scarpelli, Marcello Coscia - Scénario: Manlio Scarpelli, Marcello Coscia - Maison de production: Cineproduzione PEG - Photographie: Aristide Massaccesi - Montage: Mauro Bonanni - Musique: Gianfranco Plenizio - Comédiens: Adriana Asti, Franco Fragalà, Elena Veronese, Melù Valente, Piero Vida...
Ils en parlent:
« Insolence, truculence, paillardise, et bien entendu vulgarité forment la trame initiale de ce film honteusement déformé par le rajout de plans de coupe montrant un homme et une femme - toujours les mêmes quelque soit le contexte - en train de copuler frénétiquement. On ne reconnaît jamais les protagonistes dans ces flashes et il est bien évident que c’est à ce trucage que l’on doit l’exportation du produit. Une fois de plus, l’exploitation systématique d’un filon fait commettre aux distributeurs les bévues les plus scandaleuses. Ces coïts clandestins n’attirent pas davantage de spectateurs car tout y est laid, inopportun et filmé de façon grotesque. Le reste est honnêtement mis en scène par un enfant de Pasolini er de Dino Risi. » (La revue du cinéma n.299, octobre 1975 - P.V.)
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