Armiamoci e partite! (1971)


Armiamoci e partite! (aka Deux corniauds au régiment) est une comédie de 1971, réalisée par Nando Cicero.


Synopsis: Deux garçons de restaurant italiens travaillant en France apprennent le jour même de la déclaration de guerre en 1914 qu’ils ont obtenu la nationalité française. Ils sont précipités sur un champs de bataille, mais ne comprennent rien aux manœuvres. Ils saisissent une occasion de rester « planqués » en se portant volontaires pour installer le téléphone dans la chambre du général américain Mc Masters. Alors que le général est victime d’une drogue administrée par une espionne allemande, nos deux corniauds croient dur comme fer qu’ils sont responsables de son électrocution. Ils l’emmènent aussitôt en direction du champ de bataille pour le soumettre au feu naturel de l'ennemi, quand au même moment, la belle espionne est chargée par ses supérieurs de récupérer le général coûte que coûte...

Pays d'origine: Italie - Année: 1971 - Durée: 106min. - Genre: comédie - Réalisateur: Nando Cicero - Histoire: Giulio Scarnicci, Renzo Tarabusi, Steno - Scénario: Leo Benvenuti, Nando Cicero, Piero De Bernardi, Giulio Scarnicci, Raimondo Vianello - Producteur : Luigi Rovere - Maison de production: Goriz Film (Roma), Francoriz Production (Paris) - Photographie: Aristide Massaccesi - Montage: Lina Caterini - Musique: Carlo Rustichelli - Mise en scène: Amedeo Mellone - Costumes : Luciano Sagoni - Comédiens: Franco Franchi, Ciccio Ingrassia, Philippe Clay, Martine Brochard, Alfonso Tomas, Renato Pinciroli, Dante Cleri, Gino Pagnani...
 
Ils en parlent:
 
« Pour qui n’aurait pas compris le rôle symbolique du général, le réalisateur a prévu une scène un peu plus lourde que les autres: l’espionne demande à un des « corniauds » de lui montrer le « corps » (du général - le « corniaud » aussitôt se déshabille… Cela dit ce n’est pas simplement le mode de représentation de l’érection qui semble avoir été le souci du réalisateur. Ce que l’on doit constater, c’est que 1) deux italiens déracinés sont, dès l’annonce de leur naturalisation (française) soumis au feu ennemi (français et allemand); 2) dès qu’ils prennent en charge le général (grâce à la belle espionne, en fait complice) ils deviennent invincibles, intouchables, malgré leurs efforts. Donc ennemi = ami (et réciproquement); s’en débarrasser = se l’approprier. C’est ainsi que l’on peut toucher le spectateur, et c’est pourquoi le titre du film peut se permettre d’être stupide: la « leçon » finale, ce n’est pas « faîtes l’amour, pas la guerre » mais: « les corniauds, ce sont les autres ». On peut noter que ce film on ne peut plus réactionnaire peut tout à fait, bien que d’origine italienne et le faisant savoir, être goûté par des réactionnaires français, lesquels peuvent faire leurs rectifications et investissements personnels. » (La revue du cinéma n.276, octobre 1973 - P.V.)

Liens externes: IMDB, ...


Affiches :


(Italie)
 

 
(Italie)


(Italie)


(Italie)


(Belgique)


(Allemagne)


(France)


(Allemagne)


(Allemagne)

 Fotobuste & soggettone (Italie) :






Lobby cards (France) :


Synopsis :


 (France)




(Italie)



(Allemagne)

Photos de presse :


Magazines & coupures de presse :


(France)


(Italie)

VHS & DVD :


(Allemagne)


(France)


(France)


(Italie)


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire